Dans le cadre d’une vente en viager, la personne qui vend le bien conserve le droit d’usage et d’habitation jusqu’à la fin de sa vie. Cela signifie que le vendeur reste propriétaire du bien jusqu’à son décès. L’acheteur, quant à lui, devient propriétaire du bien, mais ne pourra jouir de son droit de propriété qu’au décès du vendeur. Ainsi, le vendeur est considéré comme le propriétaire du bien jusqu’à la fin de son usufruit, tandis que l’acheteur en devient le nu-propriétaire.